samedi 31 janvier 2009

Numéro de téléphone

Nous sommes joignables sur notre portable australien au : +61 4 14 88 21 96

Requins en grève


On en a rêvé et parlé de ces requins...

Depuis un bon mois...

Et bien ils n'ont pas daigné montrer le début du bout de la nageoire...

Jeudi soir, à l'arrivée à la réception de l'hôtel qui sponsorise le « Shark Cage Diving » de Port Lincoln, on avait été mis au parfum : « Les gars n'ont pas vu de requins hier, ni avant hier, ni le jour d'avant »...

En discutant un peu, on a compris que les grands blancs avaient déserté la région depuis près de 15 jours.

Bref, notre excitation était retombée d'un cran mais on y croyait encore.
En rejoignant le bateau, peu après 6h30 du mat' le lendemain, notre confiance en a repris un coup : l'équipage ne paie vraiment pas de mine... Pour tout dire, ils font vraiment charlots, une impression qui s'est confirmée par la suite.

On va sur place, les 3 pieds nickelés jettent les appâts et balancent la cage à l'eau. 4 volontaires prennent place, à raison d'un mètre carré par tête de pipe. 45 minutes plus tard, ils remontent. Rien, nada, nib, que dalle... Pardon, l'un deux a vu un poisson de 20 cm de long, quelle extase !

Là on n'y croit plus du tout. Et on a raison. Jamais ils ne viendront.

Croyez moi, 45 minutes à scruter le grand bleu dans une cage, on a fait plus excitant, même quand on est entourés de centaines de sardines en train de se repaître de l'appât destiné à attirer les grands blancs.
On vous passe les blagues de l'équipage : couper l'air à un plongeur, se balancer une tête de thon à moitié décomposée, etc. Le sommet drolatique fût atteint quand le capitaine, parti faire trempette dans la cage, a quitté son caleçon de bains, est sorti faire deux brasses en dehors de la cage cul-nu avant de rentrer dans l'abri. C'est dire s'il n'y croyait pas lui-même à ses requins !

Heureusement, sur le retour, en guise de lot de consolation, nous avons été accompagnés par une bonne douzaine de dauphins majestueux, avant une baignade époustouflante avec des lions de mer (des genres de grosses otaries).

Dès que vous entrez dans l'eau, ces animaux curieux s'approchent de vous, tournent sur eux-mêmes, s'accordent à vos mouvements, c'est assez magique.
Tant pis pour les requins, on espère juste qu'ils ne se sont pas réfugiés sur les plages de Kangaroo Island, au Sud d'Adelaïde, que nous rejoignons dimanche.
Biz à tous.

jeudi 29 janvier 2009

Les dix commandements de l'Australien

A 6h30 tu te réveilleras et au sport directement tu te rendras.


A 3 ans ton premier surf tu recevras.



Au touriste perdu une main secourable tu tendras.

A moins de 1000 calories ton plat tu refuseras.



Ton pickup de belles couleurs et d'un pare-buffle tu pareras.


Un costard, jamais ô grand jamais tu ne revêtiras (ou alors avec des Converse !).


La bienséance au barbecue public tu respecteras.


Un minimum de 5 bières par jour tu ingurgiteras.


De jolis tatouage tes bras musculeux tu orneras.


De ton Etat haut les couleurs tu porteras.

mercredi 28 janvier 2009

More Great Ocean Road


D'Apollo Bay, nous avons continué notre périple sur la Great Ocean Road.




Près de Port Campbell, suivant le conseil de Jérémy, un français de Sydney, nous avons rejoint l'héliport pour 10 minutes, dûment chronométrées, de survol de la falaise et de l'océan.


A couper le souffle...



Les photos ne donnent pas toute la mesure de l'éblouissement du paysage.



En voiture ensuite, nous avons déambulé dans les principaux points de panorama, assaillis par des hordes de mouches.





Il faut dire que la canicule était en train de nous tomber dessus. Mercredi 28 janvier, vers 11h, il fait déjà une quarantaine de degrés à Warrnambool, la ville où nous avons passé la nuit.







Tous les journaux nous annoncent la pire canicule depuis 1908 ! Voici les températures annoncées pour Adelaïde, où nous nous dirigeons : Mercredi 42 °C, jeudi 41, vendredi 41, samedi 38, dimanche 38...


Pardon, je rectifie, à la télé ils viennent de dire qu'il ferait 44 degrés à Adelaïde demain. On comprend mieux pourquoi la crème solaire se vend en conditionnements d'un demi litre en Australie.



Nous sommes désormais à jour J-2 de notre rencontre avec les grands requins blancs, prévue le 30 janvier.

Qui a eu l'idée stupide de faire ce truc de cage à 30 cm de monstres de 4 à 6 mètres de long avec des dents partout ???


On vous racontera... si on n'y a pas laissé nos deux mains :))

mardi 27 janvier 2009

Great Ocean Road

La journée à l'Open d'Australie s'est bien finie : défaîte de notre championne - Alysée Cornet - mais magnifique victoire en 5 sets de Federer.





Le soir, lors d'un BBQ avec quelques français de Melbourne, nous avons mangé de la viande de Kangou. Exotique, mais pas vraiment succulent.




Le lendemain (26 janvier, également fête nationale de l'Australie : date de l'arrivée de la première flotte de bagnards en 1788), nous sommes partis pour la Great Ocean Road, une route magnifique qui longe des dizaines de criques et de plages le long de l'océan.





On peut y voir un golf colonisé par les kangourous, où les joueurs côtoient les marsupiaux en train de brouter, le tout sans problème particulier.






On peut aussi y voir des koalas en train de dévorer des feuilles d'eucalyptus ou, le plus souvent, en train de dormir, coincé, tel un sac de linge sale, entre deux branches.



Faut de bons yeux pour les voir, mais il y en a une ribambelle.






Et bien sûr, de magnifiques panoramas tout au long de la route...










Maha est au volant, je me délecte des paysages...


Après 50km sur la route, on prend à droite, on monte pendant 3km et on trouve notre hôtel du soir, perché sur les hauteurs et duquel on a une vue magnifique...

dimanche 25 janvier 2009

Allez les petites françaises !

Après une victoire magnifique de Marion Bartoli sur la n° 1 mondiale, une autre petite française, Alysée Cornet est en train d'affronter Safina sur le cours central.



Safina est un genre de monstre de 1m80, musclé comme un lutteur gréco-romain.



A côté, Alysée ressemble à un insecte.



(Maha se moque de moi, il paraît que c'est du journalisme sportif de bas étage).




Cornet se fait exploser au 1er set.




Et puis, juste après qu'on ait prédit la victoire de Safina en deux sets et moins d'une heure, la situation s'inverse complètement.



Hallucinant...



Safina pète des câbles à répétition sur le centrale, pousse des cris d'alien, elle est aussi cinglée que son frère !!!



La russe met la moitié de ses balles dans le filet et Cornet se bat comme une lionne.



Moralité 2-6, 6-2 et 1-1 dans le troisième...


Trop fortes les petites françaises.


Live from the Australian Open

Salut à tous,




Il est 12h20 à Melbourne.





En direct du Rod Laver Arena, nous sommes en train de regarder Marion Bartoli étriller Jankovic.






Mince, il a suffi que j'écrive ça pour que Marion se prenne un break.





6-1 dans le premier set, 4-4 dans le second, 0-15 dans le jeu.




On est tout tout en haut du stade, quasiment en position centrale.




La visibilité est quasi parfaite, on peut même distinguer le mini-short de Jankovic à certaines occasions.




Il y a du frenchy un peu partout dans le stade. Ce sont les seuls qui crient !




On vous embrasse bien fort.

Petites mésaventures...

Au cours d'un long voyage, on n'évite jamais quelques petits pépins...

Rien de grave, mais des situations un peu risibles dont on se souvient ensuite avec plaisir.

Retour à Sydney, plage de Bondi, mardi dernier...

Nous nous sommes inscrits à un cours de surf de deux heures, de 10h à midi.

Après être arrivés derniers de notre petit groupe – sacrés français ! - nous écoutons les conseils avisés de Sew, notre prof de surf, qui nous explique comme se lever de cette satanée planche qui n'arrête pas de bouger.

Heureusement, les planches en question sont de vrais paquebots de 3 mètres de long, alors que les vrais surfeurs ont des savonnettes d'un mètre cinquante.

On se met à l'eau et, de façon surprenante, ça se passe pas si mal. On met un genou d'abord, puis, après une petite heure, il arrive même qu'on se mette debout.

Alors on se croit bon ! Et on prend des vagues plus grosses en oubliant les conseils sur la position à adopter sur le surf.
Résultat, une vague un peu plus forte que les autres me retourne comme un crêpe vers l'avant et ma tête vient se planter assez brutalement dans le sable. « Tel un poireau », a décrit Maha un peu plus tard.

Je me relève un peu sonné avec un bon gros mal de cou avec quelques petits cliquetis quand je tourne la tête.

Notre prof me conseille de sortir de l'eau et d'attendre que ça passe.

Mais, entre temps, un nageur situé à proximité a informé les sauveteurs. L'un arrive vers moi et m'interroge sur ce qui s'est passé. Puis, sans crier gare, il me prend la tête entre les mains comme si elle allait tomber.

Un autre secouriste arrive, puis un troisième, puis un quatrième, jusqu'à ce qu'une bonne demi-douzaine de personnes m'entourent. J'ai beau dire que tout va bien, les voilà qui me mettent une minerve puis m'allongent dans une espèce de sarcophage de plastique et me ligotent comme si j'étais Hannibal Lectar !

Ah oui, j'oubliais la meilleure : pendant toute cette intervention, nous sommes filmés par l'équipe de tournage des « Bondi Rescue », un show TV australien sur les prouesses des secouristes de la plage de Bondi.

Ni une ni deux, ils me transportent jusqu'à la route sur un petit quad, et me chargent dans une ambulance. Et pas question de dire que c'est un peu exagéré : « that's precautionary, mate ». Dans l'ambulance, la paranoïa va jusqu'à me faire une piqûre pour éviter que je vomisse !

20 minutes plus tard, on se retrouve à l'hôpital et une nurse me demande comme je m'appelle, quel jour on est, etc. Le médecin se pointe et l'interrogatoire reprend. Il me dit qu'il va me faire un scanner et une prise de sang.

Trouvant que la plaisanterie a un peu duré, je refuse et, après avoir signé une décharge, je retrouve Maha et nous quittons l'hôpital... en combinaison de surf !

Avec le cou un peu douloureux, certes, mais cela justifiait-il le déploiement de 6/7 secouristes, 2 ambulanciers, une infirmière et un médecin ?

Et voilà donc pour mes prouesses en surf... La photo flatteuse postée précédemment sur le blog était bien une imposture !

vendredi 23 janvier 2009

Spéciale "diables"


Dès les premiers kilomètres sur les routes de Tasmanie, la sécurité routière vous prévient de sa présence.





Ca doit être marrant les cours de conduite sur l'île : « John, on fait comment pour éviter un wallabie » ? « Marvin, que doit-on faire quand on a heurté un diable ? », etc.


Il faut dire que ce petit marsupial endémique est devenu une icône pour l'île.




Même si on le voit rarement dans son milieu naturel, dans la mesure où l'animal est essentiellement nocturne.








Près de Port Arthur, célèbre pour son ancien pénitencier britannique, nous avons donc pénétré dans la « réserve de conservation des diables ».







On a commencé par nourrir des kangourous... Marrant, mais pas très authentique... Maha a quand même repéré un spécimen d'un beau gabarit avec un bébé dans la poche ventrale. Très chouette...




Et puis nous avons filé vers les diables.






Drôles d'animaux, sorte de croisement entre un chat et un berger allemand.










Raisonnablement agressif à ce qu'il paraît, malgré son allure de grosse peluche. Deux diables se sont frités devant nous avec forces grognements et exposition de canines.













A déconseiller pour en faire un animal domestique !


On vous embrasse depuis Eaglehawk Neck, tout au Sud de la Tasmanie, un endroit où il ne faut pas avoir de fringale après 20h30 car tous, absolument tous les restau, cessent de servir après cette heure...





Going South

Mercredi 21 janvier, après 5 jours intenses et enthousiasmants à Sydney, nous mettons le cap vers le Sud.



Direction Melbourne, l'autre ville australienne.


Et aussi notre première (petite) déception.




Cette grande métropole (3,7 millions d'habitants), longtemps la plus grande ville d'Australie et rivale acharnée de Sydney, n'en a ni la classe ni le charme.




Le centre ville se résume à des chapelets de buildings parcourus de grandes avenues rectilignes. Et la mer n'est visible nulle part, alors qu'elle est omniprésente à Sydney. Circulation exécrable : 45 minutes pour faire 5 km !




Circonstance atténuante pour Melbourne : un restau porte le nom de « Rich Maha » (un présage ?) et nous avons gagné au 119 dollars au Crown Casino (présage réalisé !).




Malgré tout, après quelques heures à Melbourne (que nous retrouverons le 25 janvier pour l'Open d'Australie), nous ne sommes pas mécontents de nous diriger vers la Tasmanie.




Par voie de mer cette fois : nous embarquons sur le Spirit of Tasmania qui nous conduit en une nuit vers le port de Devonport, au Nord de la Tasmanie.









Traversée sympa : ça rappelle un peu les voyages de classe pour l'Angleterre.









Par contre, nous avons laissé le beau temps de l'autre côté de la mer de Tasman : ciel bas à l'arrivée, avant qu'un déluge de pluie et de vents ne s'abattent sur nous un peu plus tard.





Malgré tout, nous voyons notre premier Kangourou sur le bord de la route ! Il a malheureusement détalé avant que nous ayons pu l'immortaliser.




Nous avons aussi croisé un diable de Tasmanie... écrasé sur la chaussée. Les corps de toutes sortes de marsupiaux jonchent les routes de cette petite île; il faut dire que ces plaisantins, attirés par la lumière, ont pour habitude de se jeter sous les roues des véhicules la nuit.




Les hauts plateaux de Tasmanie sont un décor de carte postale et un paradis pour les randonneurs.



Malheureusement, la pluie incessante nous a empêché d'en profiter pleinement. Nous filons donc vers Hobart, capitale de l'île et camp de base pour de nombreuses expéditions vers l'antarctique...

Opéra : le top 3

A l'heure de quitter Sydney pour Melbourne (allez Tsonga !), nous avons sélectionné nos trois meilleures photos de l'Opéra.

Faut dire qu'on l'a mitraillé sous tous les angles...



Depuis le quai, depuis le ferry, depuis le Harbour Bridge, depuis Cremorne, depuis le Royal Botanic Garden, etc., etc.


De vrais japonais...


Mais il faut dire que c'est un bâtiment assez extraordinaire, prenant des allures totalement différentes en fonction de l'angle et de la lumière.


Tantôt voile, tantôt coquillage, tantôt escargot ou limace, il y a de quoi faire marcher l'imagination.



Place aux photos...

mardi 20 janvier 2009

Bugs in Sydney

Dans la plupart des grandes villes, la faune est réduite à sa plus simple expression : pigeons, cafards, rats.

A Sydney, c'est nettement plus varié.

On peut voir des perroquets dans les cafés...

Très voraces d'ailleurs...

Le spécimen ici présenté a avalé une bonne douzaine de sachets de sucre pendant la demi-heure que nous avons passée en sa compagnie.

On peut voir des drôles-d'oiseaux-au-bec-courbé-qui-aiment-les-frites (nom scientifique) dans les parcs publics...

On peut voir un serpent dans la fontaine d'une villa luxueuse...

On peut voir un banc de poissons en train de s'ébattre à quelques mètres de vous...

On peut voir un cormoran en train de se sécher au soleil sur un joli rocher d'une banlieue chic...

Et puis des rats géants, qui ont malheureusement échappé à notre objectif, des araignées de belle taille, etc., etc.

S'il y a ce genre de créature dans une ville de 4,2 millions d'habitants, vous imaginez ce qu'on va trouver ailleurs !

Imposteur !


Regardez cette photo...


La classe non ?


En fait, cette photo est une énorme escroquerie.


La personne en question – une connaissance – se donne l'allure d'un surfeur émérite.


Mais le héros de l'affaire n'est pas ce pseudo surfeur, mais plutôt la photographe...


De se lever sur la planche, il n'en fût jamais question. Quand on a déjà du mal à rester allongé, on n'espère pas prendre de la hauteur !


Bref, une photo peut être très trompeuse, même quand elle n'est pas "sarkutée" (souvenez vous des bourlets de notre président, opportunément rabotés par un journal people bien connu).


La vérité est enfin rétablie, cet homme est un imposteur !


Suivra d'ailleurs un récit détaillé de notre cours de surf de ce matin qui achèvera de le discréditer...

dimanche 18 janvier 2009

Night life


Tout le monde le dit : Sydney est une super ville mais, question vie nocturne, ça vaut pas un clou.




Et bien, on a plutôt pensé le contraire !



Guidés par Flo, ami de Maha et résident australien depuis 18 mois, on a eu la chance de déguster quelques bières et Cuba Libre à l'Ivy, à l'Opera Bar, au Paddington Inns, au festival Jazz in the Domain et dans d'autres endroits dont nous avons oublié le nom.



Bon, on a sûrement eu de la chance. Parce que l'Australien est plutôt du matin.

Vers 6h30 du matin, la plage de Bondi (attention, il faut dire « Bondaï », au risque de passer pour le dernier des ploucs), tout près de notre lieu de résidence, se remplit brutalement de femmes et d'hommes tous plus sportifs les uns que les autres.





Certains surfent, d'autres courent, d'autres encore se baignent (la piscine d'eau de mer est juste blindée à cette heure matinale).









Aujourd'hui, on a même vu un groupe de 4 personnes en train de se faire une partie de Volley Ball sur la plage à 7h du mat' !







Y'aurait pas un peu de surenchère dans l'Australian Way of Life ?




Vers 7h30/8h, la plage se vide et les Aussies filent au taf. Bonne journée les gars !

Les "tou-tous" à Sydney

Le centre de Sydney est dans un périmètre qui ne doit pas vraiment excéder 4 ou 5 kilomètres carrés.






Les attractions principales de la ville – le charismatique Sydney Opera House, le superbe skyline, et la vue sur le Sydney Habour Bridge depuis Circular Quay – sont dans un rayon de quelques centaines de mètres et toutes visibles d'un même point.





Le tout est beaucoup plus petit qu'on ne pourrait l'imaginer, mais ça a un charme fou !







Les ferries quittent le quai, dans l'hypercentre de Sydney, pour rejoindre les quartiers périphériques, les touristes prennent l'apéro à l'Opera Bar, les familles se retrouvent dans le Botany Garden, à quelques centaines de mètres seulement du quai central de Sydney.

Le voyage


24 heures de voyage, 10 heures de décalage horaire, on s' en fait une montagne.


Et pourtant, ça passe plutôt vite.


Mercredi 14 : Taxi à 18h30, avion à 21h; Jeudi 15 : Escale à Dubaï de 7h à 10h; Vendredi 16 : arrivée à Sydney à 7h du matin.


A l'arrivée, à peine sorti de l'aéroport, on est saisi par l'extrême douceur du climat tempéré de Nouvelle-Galles du Sud : grand soleil (à Sydney, en été, il se lève vers 5h30), 25°C, petit vent rafraîchissant, un pur bonheur.




Et maintenant, les problèmes commencent... Il faut conduire...
Et quand un piètre conducteur récupère un véhicule automatique (comment ça marche ?) dans un pays inconnu (ouf, ils vendent des GPS à l'aéroport) et où on roule à gauche, Maha frôle l'apoplexie à chaque virage.

En route pour la grande ville...